Arme du crime : Post sur le forum de Pierre
Lisbonne vue par Sandra :
Arme du
crime : Post sur le forum de Pierre Dups le jeudi 25 Avril à
22h33 (heure à laquelle je suis faible et accepte de faire tous
types de conneries…)
Lieu du
crime : Lisbonne (Capitale de mon 2ème pays de
cœur)
Les gentils
complices : Aude, Morgane, Benjamin, Flo, Eric, Pierre,
Alex, Pascal, François, Joël et sans oublier nos accompagnateurs et
l’équipe du marathon du Cap Ferret !
Début de
l’entraînement : fin Août (un peu en retard me dira La
Mousse) mais c’est ma tendinite au flanc droit qui a décidé
Les entraînements
se passent plutôt bien, j’ai envie et n’arrive pas du tout à
l’échéance en étant dégoutée, c’est parfait je vais le
savourer ce marathon.
Jeudi 17 Octobre,
ça y est c’est le grand départ, nous arrivons à 5 à Lisbonne
pour récupérer les 2 appartements loués pour une partie de la
délégation Rumba.
On commence à arpenter les jolies rues de Lisbonne, mais surtout nous cherchons désespérément à nous alimenter car il est 17h et nous n’avons toujours pas déjeuné ! On se pose au Time Out, marché couvert composé de divers stands pour manger.
On commence à arpenter les jolies rues de Lisbonne, mais surtout nous cherchons désespérément à nous alimenter car il est 17h et nous n’avons toujours pas déjeuné ! On se pose au Time Out, marché couvert composé de divers stands pour manger.
Le lendemain nous continuons à flâner et expérimentons les UBER
vélos électriques dans la ville.
Samedi, direction les dossards, mais qui a dit que c’était au Parc
des Nations les retraits 😉.
Donc mauvais point de chute, nous faisons chemin inverse et nous nous
retrouvons tous à Belem pour le vrai retrait des dossards. Le soleil
n’est pas au RDV, il pleut des cordes, on fait une photo de groupe
et on part à la recherche d’un resto. Quelle bonne idée une
terrasse par ce temps !
Nos bifanas (LE sandwich portugais, steak de viande mariné dans du
pain) avalées, direction l’appartement pour se poser un peu (nous
avons accessoirement 42km à faire le lendemain, il faut ménager les
jambes)
Compex, Times Up et pasta party pour finir la journée et il est
temps d’aller dormir car le réveil va piquer : « 5h du
mat’ j’ai des frissons je claque des dents et je monte dans le
train… » direction Cascais, ville de départ du marathon. Nos
amis du semi, eux sont partis direction le Pont Vasco de Gama pour un
départ sur le pont.
On sort du train,
et surprise il pleut ! Heureusement il ne fait pas froid, on enfile
nos sacs poubelle pour se rendre à l’arche de départ qui se
trouve à 15 min de marche de la gare.
Plus que 30 min
avant le départ, on trottine sur place, on se prend en photos, on
s’encourage avant de rentrer dans nos sas respectifs. Je rentre
dans le sas moins de 4h avec Alex, ça y est, il ne pleut plus et on
voit bien que le soleil va vouloir percer. Je lève la tête vers
l’arche et qu’est-ce que j’aperçois : une belle petite
côte pour le départ.
Le Top départ est donné, ça y est j’y suis, j’ai hâte de voir
ce que ça va donner et de découvrir ce que sont les sensations sur
un marathon (ça se sont mes pensées quand ça allait bien).
Je ne pars pas trop vite, je suis bien et dans les temps que je
m’étais fixés. Nous partons pour 6km le long de la mer, trajet
que nous reprendrons dans l’autre sens. Nous courons donc à
droite, et sur la gauche de la route nous croisons les équipes de
patineurs qui font le marathon en circuit, puis arrivent les 1er
de la course, je me dis c’est bien je ne devrais pas trop tarder à
croiser les copains.
Et voilà
j’arrive à apercevoir toute l’équipe, c’est top, même si
nous ne sommes qu’au début ça fait du bien de voir les amis.
Je cours le 10km
et le Semi dans les temps et je suis bien mais il fait chaud et mes
douleurs au ventre commencent à se faire sentir. Puis la fesse
droite se réveille, ça fait un peu mal mais ça va ça ne va pas
m’empêcher d’avancer. En revanche, chose à laquelle je ne m’y
attendais pas : la tête, la niaque, l’envie qui s’en va.
« C’est une poupée, qui fait non, non, non, non, non, non,
nooooooon » Et ben ça va pas le faire car je suis au 25ème,
on m’avait dit au 30éme !!!
Bon bah ça va être long… Je passe dans tous les portiques de brumisateurs, je prends des bouteilles d’eau pour m’arroser la tête, le dos, je mets la musique pour me motiver, mais rien n’y fait. J’ai pas envie.
Mon allure diminue, je marche un peu et le coup de bambou qui va finir de m’achever : le meneur d’allure des 4h me passe devant. Voilà c’est loupé, je ne finirais pas ce marathon en moins de 4h, je suis déçue mais je n’arrive même pas à me mettre un coup de pied au cul pour suivre le groupe.
Bon bah ça va être long… Je passe dans tous les portiques de brumisateurs, je prends des bouteilles d’eau pour m’arroser la tête, le dos, je mets la musique pour me motiver, mais rien n’y fait. J’ai pas envie.
Mon allure diminue, je marche un peu et le coup de bambou qui va finir de m’achever : le meneur d’allure des 4h me passe devant. Voilà c’est loupé, je ne finirais pas ce marathon en moins de 4h, je suis déçue mais je n’arrive même pas à me mettre un coup de pied au cul pour suivre le groupe.
J’aperçois
Stéphane sur son vélo, et il va m’accompagner sur les 15 derniers
km, je suis contente mais pareil bizarrement ça ne me donne pas la
force de me rebooster. On croise Alex, qui lui aussi commence à être
dans le dur, je l’encourage et repars car j’ai quand même envie
d’en finir.
Ça y est je sais
que je me rapproche de la Praça do Comercio, Flo est là à quelques
mètres de l’arrivée pour me glisser quelques mots
d’encouragements, et voilà je passe l’arche en 4h09.
Je prends ma médaille, elle est belle quand même, et je rejoins les
copains pour l’accolade de félicitation.
On se pose un peu, on échange sur cette expérience, petite photo de
groupe, et c’est reparti direction l’appartement : aïe,
aïe, aïe les hanches font très mal et mes mollets se sont
transformés en bois… le retour en montée va être long.
Bref, encore un moment exceptionnel de découvertes, de convivialité
et de rires autour de la CAP qui nous fait tous vibrer.
Les jambes n’étaient pas si mal que ça au final, mais je crois
que la monotonie et la violence des impacts sur la route ont eu
raison de mon moral. Je sais maintenant à quoi m’attendre, et je
ne dis pas plus jamais….
Merci les copains
L’aventure de François qui réalise un PR :
Arrivés
samedi matin avec ma compagne, nous retrouvons Pierre et Stéphanie
pour aller chercher nos dossards pendant que le reste de la Rumba
fait du tourisme aléatoire de l’autre coté de la ville. Dossards
et troupe récupérés, nous entamons notre séjour gastronomique par
un déjeuner pluvieux en terrasse ! Bem vindo a Lisboa !
Dimanche
matin je rejoins le groupe sur la ligne de départ, nous nous
encourageons une dernière fois puis c’est parti. Le début de
course le long du beau littoral de Cascais se passe très bien. Au
21ème je
rattrape Pierre qui n’est pas très bien ; il s’est lancé
dans des calculs d’allure complexes mais ses mathématiques l’on
abandonnés et ses résultats sont malheureusement erronés. Nous
courons quelques kilomètres ensemble mais je le sens lâcher. Au
26ème dans
une bonne côte je me fais reprendre par le meneur d’allure 3h30,
je me mets dans le groupe mais leur tempo me semble trop rapide je
les laisse donc filer au ravitaillement du 30. Un km plus
tard je me prends un bon gros mur, d’un coup je n’ai plus de
jambes, plus d’énergie, la claque ! Je serre les dents mais
je n’avance plus, je surchauffe : le rythme dégringole. Au
36ème je
suis au 36ème dessous !
Le mental dérive, je pense à marcher je suis en
souffrance. Pourtant je continue en me renversant les
bouteilles d’eau sur la tête. Au 41ème nos
supportrices font le job et me re-boost pour terminer juste en
dessous des 3h40, Merci.
Au
final un résultat mitigé puisque j’améliore légèrement ma
marque, mais je passe à coté de mon objectif de 3h30 et que cela
fut très dur.
Une
bonne sieste plus tard, nous rejoignons le groupe au Délirium Café
pour partager quelques bonnes bières et pizzas dans une joyeuse
ambiance. Nous passerons le reste du séjour en amoureux pour
découvrir cette très jolie ville de Lisbonne en attendant de
nouvelles aventures Rumbasiennes.
Vue
de l’avant de la course, l’aventure de Florent est aussi sympa :
La
rumba est aussi à Lisbonne sur les terres de Sandra fraichement élue
au bureau.
L'objectif d'aujourd'hui est simple pour la plupart d'entre nous : terminer.
L'objectif d'aujourd'hui est simple pour la plupart d'entre nous : terminer.
La
météo est pluvieuse depuis plusieurs jours ici, en témoigne notre
déjeuner du samedi en terrasse et la pluie ne s'arrêtera que
quelques minutes avant le départ. Une dernière accolade avant de
rejoindre nos sas derrière les Kényans pour les uns avec des
Portugais pour les autres.
Le premier km est montant et annonce une course difficile. Nous longeons l'océan vers le nord dans un cadre vraiment fantastique. Eric me rejoint au KM 3 et nous partageons désormais la route, bercés par le clapotis des vagues entre côtes et descentes. C'est assez difficile de se caler face à ce profil de course d'autant que le vent se fait vraiment sentir à partir du KM 5 et ne nous lâchera pas avant notre demi-tour au KM 7. Ce demi-tour permet de saluer les copains qui passent en sens inverse. Eric et moi continuons notre chemin (route serait plus exact) et passons le KM 10 en 40min et le KM 15 en une heure. Tout va pour le mieux. Cependant mon compagnon du jour finit par perdre quelques mètres et je ne le reverrai plus (j'apprendrai plus tard qu'il a perdu une cuisse). Je continue seul à présent toujours bien en cadence en rythme avec les vagues qui échouent sur les rochers que je prends parfois le temps d'admirer. Le soleil donne de plus en plus fort mais les sensations sont bonnes et le chrono fidèle aux bases fixées : 1h24 au passage du semi-marathon. Mais la course à pieds est parfois (souvent ?) cruelle et le revêtement du sol change à présent et celui-ci ne rend pas bien l'énergie car il est humide. Je glisse donc à chaque reprise d'appui ce qui m'oblige à forcer la cadence pour maintenir l'allure. Le KM 22 me voit offrir un gel que j'avale avec une grande difficulté (j'en ai des sueurs froides rien qu'à l'écrire) quand le premier ravito solide n'arrive qu'au KM 25 : une aberration dans une course de gestion mais il est néanmoins le bienvenu. #bananes. Je commence maintenant à ressentir le manque d'entraînement mais je me rassure en me disant qui ne reste que 16km à tenir. KM 30 : passage en 2h03, je suis toujours dans le coup pour dominer les 3h et ma rencontre avec Stéphane m'a fait grand bien mais je suis seul avec moi-même à nouveau. Les kilomètres passent et le revêtement ne change pas à l'inverse de mes chronomètres. Désormais en 4min30 je ne dois rien lâcher de plus et la beauté du paysage ne me fait plus aucun effet. KM 35 : 2h32, je perds pieds, j'ai mal et 7km m'attendent encore. Des poignards dans l'arrière des genoux, des débuts de crampe dans les tibias et un message de ma tête qui dit "marche, marche, marche..." Je n'en ai cure et cours malgré tout tentant de remettre du rythme par moment ; mais jamais bien longtemps. KM 38 : je crois toujours en mes chances, ça va se jouer a la minute près. Mais je n'arrive plus à accélérer jusqu'au KM 39 où la présence de Steph, Fred et Hélène me rebooste même si je n'ai pas eu la force ne serait-ce que de leur adresser un regard. KM 42 : j'attaque le tour final de la place du commerce, le public est nombreux et malgré une belle bagarre avec moi-même, j'échoue en 3h01 et quelques secondes, un miracle au regard de la difficulté du parcours et du temps consacré à préparer cette course.
Il y a un peu de déception dans ce résultat mais heureusement, le Portugal a de la ressource et Lisbonne a quelque chose à offrir à celui qui se donne la peine de la parcourir. Un weekend, une course, des copains l'essentiel aujourd'hui est bien là.
Un petit mot pour les copains qui ont tous souffert ce dimanche puis lundi puis mardi et aujourd'hui encore. Benji à court de souffle alors que les jambes étaient bonnes, Éric qui a vu sa cuisse le lâcher, Morgane qui a eu un coup de chaud, Sandra qui savait qu'elle allait souffrir et elle a souffert. Pierre nous a gratifié de son vomito rituel. Alex tire son épingle du jeu la force tranquille.
Nos semi-marathoniens ne sont pas en tête malgré une grande souffrance pour eux aussi sur un parcours pas des plus roulants.
Le premier km est montant et annonce une course difficile. Nous longeons l'océan vers le nord dans un cadre vraiment fantastique. Eric me rejoint au KM 3 et nous partageons désormais la route, bercés par le clapotis des vagues entre côtes et descentes. C'est assez difficile de se caler face à ce profil de course d'autant que le vent se fait vraiment sentir à partir du KM 5 et ne nous lâchera pas avant notre demi-tour au KM 7. Ce demi-tour permet de saluer les copains qui passent en sens inverse. Eric et moi continuons notre chemin (route serait plus exact) et passons le KM 10 en 40min et le KM 15 en une heure. Tout va pour le mieux. Cependant mon compagnon du jour finit par perdre quelques mètres et je ne le reverrai plus (j'apprendrai plus tard qu'il a perdu une cuisse). Je continue seul à présent toujours bien en cadence en rythme avec les vagues qui échouent sur les rochers que je prends parfois le temps d'admirer. Le soleil donne de plus en plus fort mais les sensations sont bonnes et le chrono fidèle aux bases fixées : 1h24 au passage du semi-marathon. Mais la course à pieds est parfois (souvent ?) cruelle et le revêtement du sol change à présent et celui-ci ne rend pas bien l'énergie car il est humide. Je glisse donc à chaque reprise d'appui ce qui m'oblige à forcer la cadence pour maintenir l'allure. Le KM 22 me voit offrir un gel que j'avale avec une grande difficulté (j'en ai des sueurs froides rien qu'à l'écrire) quand le premier ravito solide n'arrive qu'au KM 25 : une aberration dans une course de gestion mais il est néanmoins le bienvenu. #bananes. Je commence maintenant à ressentir le manque d'entraînement mais je me rassure en me disant qui ne reste que 16km à tenir. KM 30 : passage en 2h03, je suis toujours dans le coup pour dominer les 3h et ma rencontre avec Stéphane m'a fait grand bien mais je suis seul avec moi-même à nouveau. Les kilomètres passent et le revêtement ne change pas à l'inverse de mes chronomètres. Désormais en 4min30 je ne dois rien lâcher de plus et la beauté du paysage ne me fait plus aucun effet. KM 35 : 2h32, je perds pieds, j'ai mal et 7km m'attendent encore. Des poignards dans l'arrière des genoux, des débuts de crampe dans les tibias et un message de ma tête qui dit "marche, marche, marche..." Je n'en ai cure et cours malgré tout tentant de remettre du rythme par moment ; mais jamais bien longtemps. KM 38 : je crois toujours en mes chances, ça va se jouer a la minute près. Mais je n'arrive plus à accélérer jusqu'au KM 39 où la présence de Steph, Fred et Hélène me rebooste même si je n'ai pas eu la force ne serait-ce que de leur adresser un regard. KM 42 : j'attaque le tour final de la place du commerce, le public est nombreux et malgré une belle bagarre avec moi-même, j'échoue en 3h01 et quelques secondes, un miracle au regard de la difficulté du parcours et du temps consacré à préparer cette course.
Il y a un peu de déception dans ce résultat mais heureusement, le Portugal a de la ressource et Lisbonne a quelque chose à offrir à celui qui se donne la peine de la parcourir. Un weekend, une course, des copains l'essentiel aujourd'hui est bien là.
Un petit mot pour les copains qui ont tous souffert ce dimanche puis lundi puis mardi et aujourd'hui encore. Benji à court de souffle alors que les jambes étaient bonnes, Éric qui a vu sa cuisse le lâcher, Morgane qui a eu un coup de chaud, Sandra qui savait qu'elle allait souffrir et elle a souffert. Pierre nous a gratifié de son vomito rituel. Alex tire son épingle du jeu la force tranquille.
Nos semi-marathoniens ne sont pas en tête malgré une grande souffrance pour eux aussi sur un parcours pas des plus roulants.
Morgane a
pris quand même beaucoup de plaisir :
L’épreuve
du marathon n’est pas facile et ne me correspond pas trop mais
préparer ça tous ensemble la rend bien plus agréable. Et puis
partir découvrir Lisbonne entre amis, ville magnifique que je vous
conseille (si vous voulez vous entrainer au trail pas de soucis côtes
et escaliers à volonté ahah), vraiment top ! Super WE de course le
long de la mer dans l’esprit de cohésion si cher à la RUMBA et
que j’affectionne particulièrement
Merci
à tous pour ce bon moment. Morgan
La petite
anecdote des vieux :
Heureusement qu’on était là pour
veiller sur les clefs sinon nos deux petits jeunes se seraient
retrouvés à la rue et sans sac à dos pour reprendre l’avion du
retour…
L’œil du
coach :
Sur le plan
chronométrique, ce marathon / semi n’est pas une réussite, on
analysera tout ça à froid, est-ce le plan d’entrainement ?
le parcours ? les conditions ? la tête ? les jambes ?
une saloperie de virus ? un peu de tout ça ?
Pour les
résultats, pour le moment, impossible de trouver un site qui
répertorie les résultats complets mais si on croit les chiffres
annoncés par l’organisation, il y aurait près de 50% d’abandons
sur le marathon….
Sur le plan
humain, cette aventure restera une très grande réussite à la
hauteur de la réputation de la Rumba : de la convivialité, des
rires et de bons moments de partage.
Merci et bravo à
tous, j’attends la prochaine escapade avec impatience ! (Mais
vous arrêtez d’essayer de m’embarquer dans vos conneries de
route dure, maintenant place aux terrains escarpés et boueux !!!)
Merci pour ces CR qui nous font revivre ce Marathon même si on ne l'a pas couru, c'était vraiment sympa. Bravo à tous ! Fred O.
RépondreSupprimerGéniaux vos récits de course, on est presque pris dans l ambiance ! Quel week-end vous avez passé. On retient toujours la convivialité et l esprit de la Rumba omniprésent du début à la fin ! Bravossss les jeunes. Séverine
RépondreSupprimerMerci pour vos récits retraçant cette belle aventure rumbasienne! Même si vos chronos ne sont pas tous à la hauteur de vos attentes, ce week-end au Pays de Sandra semble avoir été bien agréable.
RépondreSupprimerBonne récupération à tous.
AnneSophie
Super les CR de courses : Bravo à tous Annabelle
RépondreSupprimerQue du plaisir de vous lire.
RépondreSupprimerComme d habitude on retrouve le mot convivialite
Bravo à tous
Que du plaisir de vous lire
RépondreSupprimerComme d habitude on retrouve l'effort et la convivialité. La rumba tout simplement
Bravo à tous 😁